
YVES
NARBONNE
On me demande parfois pourquoi j’écris.
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La réponse est simple: c’est une passion dont je ne saurais me passer. J’aime les mots et les histoires. Plus précisément, j’aime jouer avec les mots afin de raconter des histoires.
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Mais pourquoi la littérature fantastique?
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Parce que j’ai toujours été captivé par les mondes imaginaires. Séduit par l’émerveillement et l’épouvante que suscitent la préhistoire, la mythologie, l’occulte et la science-fiction. Gamin, je passais le plus clair de mon temps à rêvasser. À me perdre dans les encyclopédies illustrées comme dans les bandes dessinées. J’accordais, à l’époque, moins d’importance à la réalité qu’aux chimères.
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Aujourd’hui, rien n’a changé.
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Si mes goûts littéraires ont évolué au fil des années – je pense aux romans de Daniel Walther et Frank Herbert –, je ne me lasse pas des B.D. de Van Hamme ou de Druillet, des Livres dont vous êtes le Héros et des fabuleux récits de Robert E. Howard, Michael Moorcock, J.R.R. Tolkien, C.A. Smith et H.P. Lovecraft.
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Armé de ma seule plume, c’est sur les traces de ces géants du fantastique et de l’horreur que je me suis engagé.